Un parc rempli d’enfants qui jouaient. C’est dans ce lieu qu’un couple a été surpris en train d’avoir des relations en public. Malgré les sommations des passants, les deux individus ont refusé de s’arrêter. Seul la police a pu empêcher cet attentat à la pudeur qui a été signalé par plusieurs personnes offensées par ce spectacle.
Un refus du couple
Malgré plusieurs rappels à l’ordre, ce couple a continué à avoir des rapports sexuels dans un parc fréquenté où il y’avait plusieurs enfants. A la vue de cette scène qui défie la pudeur, les passants ont appelé la police. Un père a même giflé le délinquant pour les arrêter mais rien n’y faisait.
Un refus qui a valu aux occupants du lieu public de filmer le couple pour prouver cette violence sexuelle. Une demi-heure plus tard, personne n’était là pour faire cesser cet acte hors la loi.
Des passants choqués
Malgré les appels des passants depuis 30 minutes, personne n’était arrivé pour arrêter le couple qui faisait fi des interpellations. « Au milieu, il y’avait beaucoup d’enfants en train de jouer au cricket » explique une femme qui avait assisté à la scène.
Elle raconte qu’ils ont recommencé cinq fois avant l’intervention de la police. A ce moment-là, les deux étaient déjà partis. Les autorités ont pu les intercepter avant car ils ont trouvé le véhicule des suspects.
Une femme ivre
Lorsque la police a pu identifier le véhicule des deux délinquants, la femme était au volant. Cette dernière conduisait en état d’ivresse. « Elle a été arrêtée et a été signalée pour être convoquée pour conduite au-delà de la vitesse autorisée.
Elle devra se présenter au tribunal le 24 août » a déclaré un des agents. Une enquête a été lancée et plusieurs témoins ont été interrogés. « Chaque appel est priorisé en fonction de la menace, du préjudice et du risque pour le public » déclare-t-il.
Un cas similaire en Europe
A Barcelone, un couple a également surpris en train d’avoir des rapports sexuels en public mais cette fois dans le métro en plein confinement. La fréquentation du métro avait baissé de 90% et les deux individus ont été signalés dans une cabine photo dans une station fréquentée. Un double délit puisqu’ils ont enfreint les mesures de préventions dues à la pandémie mais également pour avoir commis un attentat à la pudeur.
Les suspects ont été filmés alors que l’homme était en train de remonter son pantalon. « Nous étions en train de prendre une photo » a répondu l’accusé à la police. Un cas d’exhibitionnisme qui constitue un délit passible d’emprisonnement et d’amende.
Quand l’exhibitionnisme dépasse le fantasme
Considéré dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) comme un trouble psychiatrique, un attentat à la pudeur est un acte exhibitionniste, un comportement qui traduit une paraphilie potentiellement pathologique. Cette dernière consiste à vouloir pratiquer une activité physique dans un lieu public.
Une excitation sexuelle qui tire son origine de la volonté d’être vus ou encore d’être surpris. Poussée à son paroxysme, cela peut nécessiter une thérapie. Selon les chiffres de l’organisme spécialisé dans les maladies mentales, 30% de ces délinquants sexuels sont de sexe masculin et présentent un risque de 20% à 50% de récidive.
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